lundi

La Lettre








Cher.e ami.e,
Mes très sincère salutation à toi qui trouvera cette lettre, Je m’appelle Marion, je le sais, tu ne connais personne qui ce nomme ainsi, ceci n’est rien, je ne te connais pas encore non plus, mais cela arrivera bien assez tôt, tout dépend de toi. Je me risque à t’écrire en ayant pleinement conscience que peut-être jamais tu ne trouveras cette lettre. Mais si toute fois tu venais à la trouver sache que ce n’est pas un hasard c’est bien toi que je cherchais, le hasard et les coïncidences ne sont pas de notre monde, tout est écrit par avance. Aussi je te demande de prendre une grande attention en lissant ses quelques mots que tu tien entre tes doigts. Cela n’a pas été une chose aisé de me décidé à les écrire. En effet je suis fière et demander quelques aide que ce sois, surtout à un inconnu, m’est difficile, je te pris de ne pas prendre cela pour toi particulièrement. Je vis dans la forêt, dans un village qui se nomme Adélaïde en souvenir de la créatrice de notre contrée, notre tout première reine. Pour être plus précise, nous nous trouvons dans la montagne de Suribi, dans un lieu ou la terre est fertile, ou les fleurs les plus mirifiques, mais aussi les plus sauvages résident. Aucun être humain n’a jamais franchie le seuil de cette porte vivante que l’on appelle Mère Nature. Ici notre Mère a pris procession des lieux. Venons en au faite me dirais tu, car j’arrive sans mal à entrevoir tes lèvres tremblées d’impatience. Bien je vais te conter mon histoire, mon peuple autrefois libre, aujourd’hui ce meurt et j’ai besoin de toi pour que cela s’arrête. Je vais t’expliquer quelles en sont les raisons et pourquoi tu te dois de m’aider.
Il y a très longtemps, à l’aube des temps nous vivions ensemble en plénitude, régnais entre nous une entente infini. Cependant, comme tu le sais toute les bonnes choses on une fin. Cette dernière est arrivée au site d’une prophétie qui annonçait la fin des nôtres au cours d’une guerre qui devais durais pas moins de deux siècles. Une Guerre entre Le Peuple des Hommes et Le Peuple de Féerie. Nos deux contrées outre par ces dires ne voulurent y croire. Et c’est sans doute le Père Pertignac qui bouscula les choses, il proposa un traité de paix qui devrais être signés par le Roi du Peuple des Hommes. Ce dernier ne voulu consentir à le signer proférant des menaces à quiconque l’obligerais à signer quoi que ce fus à moins d’être accompagner par le souverain du Peuple de Féerie et que de toute manière les prophéties n’était écrites que par des fous. Le Roi des Hommes ce révéla être un être abject, cruel et odieux, ronger par la peur. Il faut peut de chose pour détruire la plus belle des ententes et encore moins pour créer une guerre. La différence et la peur furent les seuls arguments pour donner lieu à cette barbarie.
Nous le Peuple de Féerie craignions plus que jamais que cette prophétie ne s’accomplisse, pas parce que nous étions moins fort, non, parce que nous avions beaucoup d’âme parmi les humains que la guerre aurais détruis, et puis nous avions sans aucun doute l’esprit pour les vaincre mais nous étions bien loin d’avoir le physique pour la plus part d’entre nous pas plus grand qu’un buste humain. Nous avons donc mis tout les moyens en œuvre pour que cela ne ce produise jamais, quitte à nous diviser par milliers et de bannir à tout jamais les êtres humains. A la force des choses nous avions trouvez un moyen pour que chacun puisse vivre en total harmonie, afin que vous ne puissiez un jour prendre le dessus et décider d’éradiquer tout notre espère ou bien pire. Ce qu’il fallait faire était simple: devenir invisible à vos yeux, créer un monde impossible d’accès pour Le Peule des Hommes. Et c’est ce que nous avons fais, vous ne pouvez nous voir mais nous somme présent partout, dans chaque fleur, sous chaque arbres, sur chaque nuages. Mais la magie demande beaucoup de temps et de savoir en particulier pour créée une telle œuvre, c’est pour cela que nous nous somme séparés en plusieurs contrées, dans chacune d’entre elles un sorcier capable de nous dissimuler aux humains. Cela n’a cessé de perduré depuis des millénaires. Nous vivons dans votre imaginaire, vous faisant rêver à des mondes lointains, jouant avec les plus petits d’entre vous trop pure pour être malveillant, amis des poètes trop fou pour être écoutés. Si c’était le prix à payer pour la paix alors le compromis nous comblait parfaitement. Jusqu’à lors, nous avions réussi à vivre avec votre espèce chacun ne se soucient de l’autre. Or pour que la magie opère et pour que nous ne disparaissions pas totalement il nous faut la nature, mais par-dessus tout il faut que nous vivions dans l’esprit des Hommes. Cependant à force de ce faire invisible nous le somme devenus totalement, la chose que nous craignons le plus est en train d’arriver : Féerie n’est plus. Les Hommes ne croient plus. Nous vivons à l’aube d’une ère ou les êtres « merveilleux » n’ont plus leur place parmi les Hommes. Ces derniers détruisent le peu de nature qui nous reste, plus d’une centaines de contrées sont déjà détruites. Nous pensions avoir écroulés cette maudite prophétie. Que nenni ! Voila qu’elle ne fait que ce confirmé, sous chaque pied qui écrase une fleur, à chaque coup de hache planter dans un arbre, dans chaque marée noir, des milliers d’entre nous périssent et tout cela causer par qui ? Le Peuple des Hommes. Nous qui avions pourtant tout mis en œuvre afin de rendre la nature sacré, intouchable, qu’aucun Homme ne devais la toucher au risque d’être foudroyer sur place, que sans elle il n’était rien. Ceci sans est allé, les valeurs ce sont éteintes au rythme des brasiers des forêts. Très peu d’entre nous sont en sécurité. Et notre village n’est pas épargner.
Je refuse de voire mon peuple ce faire massacré sous mes yeux, sans que je ne puisse rien faire. Malgré ce que disent les anciens je sais que Toi seul peux nous aider s’il existe des hommes bons, alors pourquoi ne pas leur demander de l’aide. Je sais que tu en fais parti.
Et bien maintenant que tu connais les grandes lignes de mon histoire, je te pris de consentir à ma requête et de venir à notre aide. Pour cela il te suffira d’accepté deux conditions : Ne parler, jamais, à quiconque ou ce trouve ma contrée, et donc ne montrer cette lettre à personne d’humain j’entende. Ensuite, tu devras suivre les instructions que je vais te donner à la lettre au risque de te retrouver très vite inanimé, et dans ce cas tu ne nous aiderais pas beaucoup. Je suis tellement heureuse que tu acceptes, je t’assure que tu ne le regretteras pas. Bon tout d’abord il faut que tu te rendes dans la forêt la plus proche de toi, avant d’enter dans cette forêt tu dois totalement te vider l’esprit ne faire plus qu’un avec les arbres, ne penser à rien d’autre qu’à de bonne chose. Comprends-tu que tu dois absolument avoir de bonnes intentions, si non cela ne fonctionnera pas, tu ne pourras alors jamais nous aider? Attention ce n’est pas chose facile à faire alors concentre toi, cela peut prendre des heurs voir des jours, tu devras toujours revenir et recommencer sans jamais te lasser, les portes de mon monde son infranchissables sauf pour quelques personnes tache de percer leur secret, tu seras seul. Mais je suis sur que tu vas y arriver, il ne faut pas te décourager, je te l’ai dit c’est écris le hasard n’existe pas, si tu as trouvé la lettre, tu
peux entrer il te suffit de le vouloir. Souviens-toi de ceci: les enfants sont les premiers à avoir franchies cette porte.
Pour ton voyage, tu ne doit surtout pas oublier d’emporter des vivres ainsi que cette lettre et un présent, n’importe quoi pour vu que cela brille une cuillère ferra l'affaire, pourvu qu'elle brille comme ceci.
Ne met surtout pas de noir et rouge, on pourrait te prendre pour un Aviron (se sont des créatures antipathiques, si tu as le malheur d’en voir prend tes jambes à ton cou et cours !) Mais ne t’en fais pas tu ne resteras pas seul longtemps. Une fois passer la porte tu avances un bon moment droit devant toi, mais n’oublie jamais ne t’arrête pas de parler ou de chanter, ne reste pas silencieux (je te conseille une comptine comme « le petit navire » Pisora l’adore, elle va t’aider). Ensuite, arrête toi prononce ses quelques mots :

Mère Nourricière, Nature sublimé,
Nie d’indoraine et Toile d’araignée,
Toi qui nous permets de respirer,
Je t’offre pour te remercier
De me laisser passer.
(Tu pose à terre le présent que tu as choisi)

Accepte mon intrusion,
Car je viens pour Marion.
Notre Mère connais chacun de nous, elle serra que tu ne mens pas
Ensuite, Mortiduc va venir te saluer, tu devras écoutés tout sont boniment, absolument tout ce qu’il va te racontée, m’en perd pas une miette cela pourrais te couter la vie. Méfie toi il est très bavard, il a tendance à perdre le fil, c’est naturel chez lui. Il te conduira sur la voie. Tout le long de ton voyage tu rencontreras bon nombre des miens, suit-les mais n’estimes pas tout ce qu’ils te diront, crois en quelques uns, oublie les autres, je te fais confiance. Ils ne seront pas toujours agréable mais t’aiderons toujours quoi qu’ils leur en coûtent, je leur fait confiance fait en de même. Fait attention aux Lutins Sabourin, ce sont de vrais maraudeurs, tu les reconnaitras facilement. Je crois que je t’ais dis tout ce que tu devais savoir pour le moment. Mes amis se chargeront du reste.
Prend grade a toi l’Humain, la Féerie et dangereuses pour les personnes de ton espèce. Mais n’ais aucun crainte je prendrais soin de ton âme durant ton périple entre les univers. J’espère ne pas m’être méprise à ton égard, je t’attends avec impatience. Et n’oublie pas : Il existe un monde aux milles merveilles, que tout les joyaux du monde ne serais égaler, un monde ou les secrets sont par milliard, ou la magie et les possibilités sont illimité, il existe de chose que tu n’oserais même pas imaginer en rêve, il ne tient qu’à toi d’y entrer et gouter à ces merveilles. Il se nomme Féerie.
arion l’Elfe des Montagnes de Suribi de la contrée d'Adelaïde.



jeudi

Un soir


Un soir, je m’apprêtais à sombrer dans un rêve dénué de sens et des choses me revinrent en mémoire.
Soudain tout ce trouble, se mélange, change, disparait… Me voila dans une rue forte étroite, bousculée par la populace. L’endroit est nauséabond comme un mélange de poisson pourris, d’haleine de dinosaure et des vilaines émanations du derrière de grand-maman. De peur de suffoquer sur place je prends mon écharpe, car il fait aussi un froid de loup, et j’avance.
J’avance encore.
J’avance toujours.
Soudain je me stoppe.
Je vois une femme seul dans un coin prostré, la tête dans les mains pour masquer immondice et la douleur. Elle attend d'être délivrée. En vain. Ne vois-elle donc pas que personne ne fait jamais attention à elle? Quand bien même celle-ci avait eu une langue cela n’aurais rien changé à son affaire. Je devrais lui dire. Quoique… Pour quel raison ferais-je cela ? Je ne la connais pas. C’est son affaire, ici les gens son bien trop pressés pour s’occuper d’elle.
Alors je poursuis ma route.
J’avance, un peu préoccupé tout de même, elle pourrait mourir de froid ou de chagrin je ne sais lequel des deux tue le plus vite.
Mais j’avance.
J’avance encore.
J’avance toujours.
Puis j’oublie, l’odeur comme la femme.
C’est alors que je m’immobilise de nouveau.
Quelques passants râlent, quelque chose bloquent la circulation. Ils regardent intéressés. C’est un enfant allongé par terre. L’un des passants le touche du pied. Il ne bouge pas et est rouge de sang. Alors il le dégage et poursuit sa route. Plus personne ne le regarde maintenant qu’il n’est plus dans le passage. Il est probablement mort accidentellement ou assassiné. Qu’importe ? Il est mort de toute façon. Je devrais les suivre. L’enfant me regard avec ses yeux vide. Pourquoi est il mort ? Pourquoi personne ne ce le demande ? La mort n’est pas intéressante dans ce monde. Du moins pas pour les gens qui le peuple. Ou vont-ils donc tous comme ça ? C’est bien étrange. Alors je suis la masse.
J’avance.
J’avance encore.
J’avance toujours.
J’oublie l’enfant tout comme j’ai oublié la femme.
Je ne devrais pas.

Cependant, j’avance inlassablement tout comme ces étranges corps articulés dans laquelle je m’engloutis de plus en plus. C’est à croire qu’ils suivent tous le même chemin. Rien ne peut les perturber ni même les arrêter, ils poursuivent leur route. Comme moi, j’avance.

J’avance encore.

J’avance toujours.
Soudain se dresse devant mes yeux un édifice haut de d’au moins vingt-cinq mètres tout ou plus.

La populace semble avoir choisi ce point culminant comme havre d’animation.

Un empire géant.

Ils s’engouffrent tous par centaine, que dis-je, par centaine de millier dans cette vil bâtisse toute de verre et acier. Que peuvent-ils bien chercher dans cet endroit glacial et placide aussi grand que déplaisant ? Quoi de tel qu’une maison figée pour des êtres mornes et insensibles. Qu’importent ils y vont !

Alors je les suis et j’avance dans cette caverne d’argent.

J’avance encore.

J’avance toujours.

J’oublie l’horreur de l’architecture ainsi que les gens qui l’entour.

Bientôt j’entre dans l’antre.

Tout cette proéminente de chaire ambulante me laisse sur les fesse, se bousculant, se piétinant bon gré malgré je fini par entrer.

Un homme surement trop pressé à fini allonger face contre terre. Autour, les visages graves et agités non pas daigné le regarder. Je l’aurais bien relevé mais je n’aurais su dire si l’envie de l’aider était plus forte que celle d’avancer. Je le regard. Il me regard également. Le dilemme fut de court duré, trop gênant il fut expulsé par quelques gens bien plus pressé qu’il ne le fut avant son effondrement. Mon champ de vision redevins nul et assiégé de chapeaux et coiffés divers et variés sautillant au rythme des claquements des souliers. Quelque peu déconcerté je repris mon chemin non sans être soulager de pouvoir continuer.

Alors j’avance.

J’avance encore.

J’avance toujours.

La populace soudainement arrêtée, au milieu de la cour encastré de fenêtres par millier, une enfant et prostrée là. L’enfant de presque trois ans tend une main plein de doigt aux costards articulé. N’est-elle pas maudite pour être fuit comme la mort? Probablement que oui. Mais c’est quelle mendie? Assurément ses habits de galère sont troués jusqu'à la moelle et sa peau suent d’un noir crasseux et poisseux. Elle devrait se faire une toilette. J’ai peut-être un mouchoir. A quoi bon lui donner, elle l’aura souillé avant même d’y avoir posé le nez. Comment peut-elle demander, elle sait pertinemment qu’on va lui refuser ? L’espoir existe donc chez cette petite ordure poussiéreuse. Pourtant personne ne la voit ni ne la touche. Comment peut-elle encore croire et aimer après être ainsi raillé et bafoué? Je devrais lui demander. Enfin plus tard, pour le moment pas le temps. J’avance.

J’avance encore.

J’avance toujours.

J’ai trouvé le fond de l’arène métallisé, il s’agit qu’un grand banquet ou plutôt une table parsemer de chaise et quelque fois des vicaires étonnamment vêtu. Cependant pour y accéder il faut faire la queue. Quoi de plus normal qu’une file d’attente perpétuer après une cours endiabler ? Rare son ceux qui son installer au laurier… Pour acquérir une place parmi les privilégier il faut passer devant Monsieur les abbés. Chaque file à son aumônier, un homme encapuchonner qui contre une liasse de billet, soustrait aux cravatés, ouvre un large bec et attende leur baiser. Ceux-ci fait vous pouvez vous installer pour les pus riche d’entre vous sur les genoux des jambes poilus des cardinaux prostitués.

Tendis que je me joins à ce cloaque en m’assaillant à ma place. Les regards vident et fixe j’attends avec mes semblables le moment de passer à table. La recette est enfin prête, action en entrer, et monnaies pour dessert. L’entre plat est souscrit, il ne faut pas pousser, c’est un empire qui ne fait pas de charité : il économise, divise et extirpe il n’y a pas de place pour la connaissance. Ainsi les raclures chantent leurs sermons à mes oreilles anesthésiées: drôle de parjures, assurément une injure à l’art de la luxure.

Un empire géant.

L’empire de la honte.
L’obscurantisme fait des ignobles des rois invétérés et proclamés. L’immondice n’a pas de frontière puisqu’elle est annoncés armée monétaire de ce pays sans lumière. Qu’est ce que cela fait aux habitants de ce monde asexué ? Ma foi, pas grand-chose, les bien heureux en sont comblés et les miséreux éradiqués. Les poètes et les troubadours ont vendus leur habites du jour pour des costards cravatés. Plus rien n’a de sens ni même de moral, la vie et troquer contre un poignet de billet.

L'empire et née.

L'empire de la honte.

Un soir, je m’apprêtais à sombré dans un rêve dénué de sens et des choses me revinrent en mémoire. Je ne devrais pas penser à eux le soir seulement au moment ou je m'apprête à les oublier.
Nous ne devrions pas.
Mais il est tard et il ne tard de rêvé.
Bonne nuit
.

mardi

Emmène moi...



"Je veux partir" Furent les seuls mots qu'elle a prononcés.
Sa voix c'est perdu, elle c'est éteinte dans un dernier souffle.
Je suis resté, jusqu'à la fin. Je l'ai regardé sans un mot. Sa douleur ne ce voyait pas elle était invisible comme la mienne sauf que moi, je n'avais aucune excuse au malheur. J'aurais voulu lui dire quelque chose. Rien n'est sorti aucun mot pas même un son, une respiration.
La Lune reflétait une lueur blanche dans la pièce immaculée de noir, la nuit était d'une froideur atroce. Tout mon corps était frigorifié pourtant je ne frissonnais pas, je n'y pensais pas. Je ne voyais que ça main dans la mienne. Elle seul me réchauffait le cœur. Je ne regret rien. A quoi bon, c'est inutile. Le regret résulte des choses qu'on ne peut accomplir. Or nous l'avons fait la chose est sur.
Elle ne me regardait pas. Peut être attendait elle que je lui réponde avant de me regarder. Surement que mon regard lui était insupportable. Les larmes, elles ne les aiment pas. Du moins c'est ce que je m'oblige à penser. Je voulais lui dire quelque chose, n'importe quoi. Pour qu'elle tourne son visage vers le mien, pour qu'elle me regarde.
Pourquoi ne voulait-elle pas me regarder?
La fenêtre devant nous offrait un vue imprenable sur une forêt noir, effrayant pareille à la gueule béante d'une bête de la nuit.
Qu'est ce qu'il y a au delà de la nuit ? Si elle veut partir, ce sera dans l'inconnu.
Elle est tout pour moi, ma sœur, mon âme, ma passion, ma religion. Son nom seul porte mon cœur. Je lui donne tout mes forces, mes inspirations, mes différences, mes honneurs, mes droits, ma dignité, ma personne, mon être. Elle en fera ce qu'elle veut, les jeter au feu si elle le souhaite. Je suis prête à embrassé le diable si elle me le demandait. Je me contenterais de ses vœux comme recommence. Je suis disposée à tout faire, à tout abandonner pour ses yeux.
Je veux qu'elle me regard.
J'ai prononcé une seul phrase, un souffle qui semble sorti d'un profond gouffre, comme venu d'une détresse infini "Emmène moi"


Alors elle n’a regardé d’un regard vide, sans émotions aucune. C’était terrifiant. Cependant je n’avais pas peur. Je sais ce qu’elle fait. Elle n’estime, m’analyse… Prendra-elle ce risque ? Je l’espère du plus profond de mon être cependant je ne sais ce qu’elle pense. Je n’ai jamais su lire dans son regard. Pour cela il aurait fallu la posséder et mais ça personne n’était en mesure de le faire. Même pas moi. Surtout pas moi, je n’aurai jamais osé, c’était impossible, comme couper les aille d’un papillon, cela revenais à lui retirer sa beauté, sa liberté, sa vie... Vulnérable quelque fois elle l’est, certes, mais elle ne ce laisse jamais pénétrer. « Trop dangereux » disait-elle. « Trop » un mot qu’elle n’employait que très rarement ainsi il prenait tout son ampleur…


A quoi pense-elle ? Et si elle refuse ? Que vais-je devenir sans elle ?


Elle vu voir la flamme de détresse qui envi mes yeux, car elle sera ma main. C’en est trop. La douleur est trop forte, une larme silencieuse me brule le visage. Hurler c’est la seul chose qui me vient à l’esprit. Mon cœur tambourinais dans ma poitrine à tel point que ma tête tout entière résonne au rythme de ce darbouka retentissant qui a prit racine au fond mon être. C’est bientôt la suffocation… L’hystérie me gagne toute entière plus rien ne peut me raisonner a par elle.


Elle n’en fit rein, elle me regarde m’embourber dans mes sanglots… bientôt tremblante je ne peux plus tenir.


Ces yeux je les voyais, il me pénétra telle une lance enflammée pour venir ce logé dans cet abime géant qui autrefois était mon cœur.


C’est alors qu’elle caresse du bout de doigt mon visage, effleurant avec une douceur infini ma joue puis ma bouche. Dans un même geste spectral et approche d’une lenteur extrême son visage du mien.


Dans cette soudaine obscurité naissante, ses yeux, pareils à ceux d’un chat ou d’une chouette en pleine nuit, sont d’un noir étincelant semblable à une mer noire sous une lune éclatante. Je distingue une perle de diamant au bord de ces lèvres entrouvertes. Elles se rapprochent dangereusement des miennes jusqu’a enfin les toucher, les prendre. Dans un accord mystique nos bouche serrées l’une contre l’autre ne faisait plus qu’une et promptement nos langue se mêleraient à cette dance nuptial, ce cherchant mutuellement. Les caressent ce faisait de plus en plus intense, profond. Mes mains viennent tendre secoure à mon désir soudain ardant cherchant la chaleur, la douceur de la peau. De sa peau. Elles prirent soutiens sur une hanche puis dans un dos pour finir leur course effrénée sur une nuque. A bout de souffle, cette symbiose parfaite mêlé à un désir charnel naissant, se fractionnera dans un déchirement intense presque violent.


« Viens avec moi » Furent sont les seules mots qu’elle a prononcés.


Sa voix c'est perdu, elle c'est éteinte dans un dernier souffle.


mercredi

Songe d'un soir

Il fus un temps ou nous étions libre, tout du moins heureux du petit bout d'herbe qui nous chatouillait les pieds. Ce petit bout de terre ou tu pouvais pissé et chier sans retenu sans que personne ne t'en empêche ou te colle un PV.

Il fus un temps ou ce battre pour cette liberté, aussi infime sois t'elle, était une seul raison de vivre, que tout les joyaux du monde ne pouvaient acheter.

Il fus un temps ou les misérables était les bien heureux, puisse qu'ils ne leur suffisaient rien d'autre qu'il ne possédait déjà pour le rester.

Aujourd'hui il nous en faut toujours plus à défaut d'être satisfait.
On se noie dans la boue, on se complais dans son malheur, indifférent de toute la souffrance du monde.
Cela dit il nous en a fallut du temps pour atteindre ce degré d'indifférence, nous en avons essuyer de guerres, des hommes massacrés, des femmes égorgées, des enfants immolés. Cela sans réel fin.


Aujourd'hui, nous marchons à genoux, serré les uns contre les autre, la lange pendante, chaînes aux poignées que l'on a gentiment pris soin de nettoyer dans les moindres recoins avant de les serrées comme il se doit.
Et nous devrions nous estimer heureux. Ils prennent soin de nous essuyer la merde qui tombe derrière nous.

Nous pauvre petit bourgeois qui portons le malheur du monde sur nos épaules à chaque quai de gars, sous chaque réverbères, sur chaque portraits.
Des faces pointées vers le haut en quête de bonheur perdu ou oublier.

En quête de caresses, de quelqu'un à aimer.

Comme s'il y avais quelqu'un la haut qui regard, de la pitié plein les yeux. Pourquoi pas ? Croire c'est tout ce qui leur restent.

L'amour quel jolie mot, tantôt adopter tantôt rejeter au final oublier.

Peut- on réellement aimer les autres?

N'es pas notre propre regard qui nous plais dans celui de l'autre?

Quand bien même cela ce produirais, qu'un sentiments naquis dans ce triste néant, peu on aimer tout une vie durant?

Absurde !
Le temps passe et emporte les sourires, la chaleurs, les souvenirs au final il ne reste qu'un puits sans fond. Du vent, qui vous fouet la tête, qui vous rend barge.
Et oui au final il ne reste que toi seul ! Te roulant dans ta merde embarrasser de parasites, te contemplant dans un miroir vide.
On peut perduré dans le mensonge toute une vie durant, mais cette dernière fini toujours par nous rattraper.
Fuis autant que tu veux, il y aura toujours quelque chose ou quelqu'un pour te rappelle que tu es un pauvre con seul dans ta crasse.

A quand ce moment face au miroir de la mort impassible?

Je l'attend avec impatience



Pas vous?

Cinq sens


Soudain tout nos sens s'affolent.
l'ouïe...
Une voix, grave, charmante, plaisante.
Une voix douce comme l'écharpe soyeuse de l'étrangleur, suave comme une friandise empoisonnée. Son chant avait fait merveille dans son esprit, un darbouka retentissant avais prit racine au fond son être.Insoupçonnée. La voix sépulcrale de Vincent Price semblait lui murmuré des mots doux. Pour le moins étrange. Dès lors ce fus le début d'un long et doux cauchemar...

la vue...
Des cheveux emmêlés.
Un regard, une envie profonde et soudaine, irrationnel.
Ce regard l’avait brûlé jusqu’au plus profond de son âme, aucun autre n’avait pu tenir la comparaison ..
Ce visage, une soif qu'il veux éteindre ou combler que sais-je. Du moins qu'il veux voir partout tout le temps! Tout de suite ! Maintenant ! Juste un regard...
Qu'il veux capter, capturer, séduire pouvoir lui parler sans même ouvrir la bouche.
Il le cherche dans chaque coin de rue sous chaque réverbères. Il le veux...

l'odeur...
Un parfum, une effluve qui l'envoute, l'émerveille.
"De l'air, de l'air, j'ai besoin d'air, j'étouffe! " Qu'il dit. Il ne sais rien dire d'autre...Le pauvre
Les fleurs on une odeur passer desséchées comme mortes, tout du moins oublier.
L'océan quand à lui sent la friture, les chiens un léger brin de nougat, le chocolat ne l'émoustille même plus. Plus rien ne va !

le toucher...
Les mains s'effleurent, se promènent ici et là, sans savoir ou se poser.
Des caresses redessiner les courbes du corps du bout de des doigts, des ongles.
Alternant les deux pour faire goûter la différence.
Ne dit on pas que la pêche est le meilleur des fruits?
Qu'attend-il pour la gouter?

le gout...
Un baiser, trop chaste, trop pure.
Le goût de l'autre n'est pas complet, trop peu encore.
Serein, jaloux, timide, extraverti peu importe...haine, amour, peur, respect, admiration, tout s'y mêle et se perd.Une transe sensuelle les deux se rejoignent dans une symbiose parfaite.
Puis...
C'est l'extase, l'union charnelle, le désir!
Le souffle erratique et les yeux clos, subjugué par un monde bouillonnant de plaisir.
Qu'est ce donc? L'enfer ou le paradis?
Il vous déchire les entrailles, vous aspiraient chaque parcelle de vous même incrustée dans votre chair, empêchant tout repos à votre esprit brûlant.
Arrachant la chair de l'autre avec ses propres ongles.

Après ce délicieux tourment des sens qui l’avait mené au gouffre du plaisir il désirait qu'une seule chose :y retourner ne serait-ce qu’une seule seconde, sombrer dans ce rêve noir, dans cet instant de gloire, de jouissance éternelle. Encore une fois tomber sous l'effort des corps brulant de sueur froide. Retrouver son délectable enfer corporel.

Mais au final, le bout du tunnel ne menait toujours qu’à une destinations.
Le néant.
Personne n’y réchappe.

samedi

Orly


Ils sont plus de deux mille et je ne vois qu'eux deux. La pluie les a soudés, semble-t-il, l'un à l'autre. Ils sont plus de deux mille et je ne vois qu'eux deux. Je les sais qui parlent. Il doit lui dire « Je t'aime ! ». Elle doit lui dire « Je t'aime ! ». Je crois qu'ils sont en train de ne rien se promettre, ces deux-là sont trop maigres pour être malhonnêtes. Ils sont plus de deux mille et je ne vois qu'eux deux. Et brusquement, il pleure. Il pleure à gros bouillons, tout entourés qu'ils sont d'adipeux en sueur et de bouffeurs d'espoir qui les montrent du nez. Mais ces deux déchirés superbes de chagrin abandonnent aux chiens l'exploit de les juger. La vie ne fait pas de cadeau et nom de Dieu c’est triste Orly, le dimanche, avec ou sans bécaud ! Et maintenant, ils pleurent, je veux dire tous les deux, tout à l'heure c'était lui lorsque je disais "il". Tout encastrés qu'ils sont ils n'entendent plus rien que les sanglots de l'autre. Et puis, et puis infiniment, comme deux corps qui prient, infiniment lentement, ces deux corps se séparent. Et en se séparant ces deux corps se déchirent et je vous jure qu'ils crient. Et puis, ils se reprennent redeviennent un seul, redeviennent le feu. Et puis, se redéchirent se tiennent par les yeux. Et puis, en reculant comme la mer se retire, il consomme l'adieu. Il bave quelques mots agite une vague main et brusquement, il fuit fuit sans se retourner et puis, il disparaît bouffé par l'escalier. La vie ne fait pas de cadeau et nom de Dieu c'est triste Orly, le dimanche, avec ou sans bécaud !Et puis, il disparaît bouffé par l'escalier et elle, elle reste là. Cœur en croix, bouche ouverte sans un cri, sans un mot. Elle connaît sa mort. Elle vient de la croiser. Voilà qu'elle se retourne et se retourne encore ses bras vont jusqu'à terre. Ça y est ! Elle a mille ans. La porte est refermée la voilà sans lumière. Elle tourne sur elle-même et déjà elle sait qu'elle tournera toujours. Elle a perdu des hommes mais là, elle perd l'amour. L'amour le lui a dit revoilà l'inutile. Elle vivra de projets qui ne feront qu'attendre. La revoilà fragile avant que d'être à vendre. Je suis là, je la suis. Je n'ose rien pour elle que la foule grignote comme un quelconque fruit.

L'enfer c'est les autres

"Tu sais à quoi je pense ?

Hmm...


Que tu es la fille la plus belle que j'ai jamais rencontré

Oui...


Je l'ai pensé quand je t'ai vu pour la première fois

C'est gentil Harry. Ça me fait vraiment plaisir. D'autres me l'ont dit avant toi mais ça n'avait pas de sens.


Pourquoi ? Tu croyais que c'était du bluff, c'est ça ?

Non, non c'est pas ça en fait... j'en sais rien.. j'en sais rien, je me fiche complètement de ce qu'ils pensaient... Venant d'eux... ça n'avait pas de sens ni de réalité. Mais toi, toi quand tu me le dis, je l'entends, je l'entends vraiment.


Tu sais avec toi, je pourrais vraiment devenir quelqu'un de bien.

Tu crois ?




J'ai fait un rêve...Nous étions tout les deux...
Nous étions là ensemble l'un contre l'autre.
Ta respiration régulière avait l'effet d'un calment, une douce ritournelle que j'aurai pu écouter sans jamais qu'elle ne me lasse...
Nous étions là seul, nu comme des enfants.
Ici le silence était roi, il nous suffisait, nul besoin de mot, aucun n'aurai su rendre justice à ce moment si particulier
... Seuls nous, pouvions comprendre.
C'était comme si le mot souffrance n'avait aucun sens, ou nous étions il demeurait inconnu.
Ton cœur raisonnait dans ma tête tel l'orchestre une mélodie magique, un moment de quiétude absolu. Cela me procurait une sensation que je n'aurait su décrire... Tout irait pour le mieux tant que j'entendrai ce récital.
Tout en t'écoutant vivre, se dessinait sous mes doigts des visages sans noms mais que je savais d'une beauté infini.
Ta peau était douce, je n'avait de cesse de la caressé comme s'il s'agissait d'une pierre précieuse.
J' humait son parfum délicieux, tendre, un arôme que j'aurai su reconnaître parmi tant d'autre...C'était toi.
Ton effluve, à cette seule senteur mon esprit virevoltait dans un océan de plaisir voluptueux.
J'aurai aimé m'endormir dans ce rêve sans fin.
Entendre ton cœur à jamais dans mes oreilles.
Je me sentait bien tout simplement.

Je comprenait.
Je sais qui je suis, à quoi je sers.
Je comprend le grand mystère de la vie, cette chose qui m'a tant torturée.
Qui m'a tourmenté à tout heur du jour et de la nuit.
Les Pourquoi n'existaient plus.
Le monde semblait d'une beauté sans limite.
Les enfants pareille à des anges.
A cette instant précis je ne trouvait au paradis.
Cette vallée perdu ou les problèmes ignorent le sentier, ou les autres sont en enfer.



Est-il possible qu'il existe un monde de ce genre?

Non il existe seulement dans tes bras."




mercredi

Putain d'merde !




"L'amour c'est partager avec celui qui comble notre cœur..L'amour c'est s'encourager l'un et l'autre dans les moments difficiles...L'amour c'est aider l'autre dans le besoin...L'amour c'est savoir pardonner les erreurs de l'autre ...L'amour c'est de relever des défis ensemble...L'amour c'est la confiance que l'un a envers l'autre ...et balblabla et blablabla..."
Quelle connerie ! Mon cul !
Aimer, c'est essentiellement vouloir être aimé.
Aimer c'est être chiant, exigent ,c'est vouloir être toujours mieux sans jamais l'être! Aimer c'est préférer un autre à soi-même, ne plus être capable de se satisfaire. Aimer c'est devenir menteur ,donner raison à l'être aimé qui a tort. Aimer c'est abuser toujours plus. Aimer c'est s'écraser.

Arrêtons tout ses conneries de conte de fées et tous le tralala qui en découle, "Et ils vécurent heureux avec beaucoup de moutards...etc...". Remettons les pendule à l'heur, fini les niaiseries. Le coup de foudre : bêtise sans fondement, un surplus de bouquin d'eau de rose à la noix. Ça n'existe pas c'est juste des histoires à la cons pour faire dormir la marmaille. La Bêtise engendre la bêtise! Arrêtons de raconter des inepties aux rejetons après ils s'en font des montagnes orienter plein Sud avec vue sur la mer...
j'en sais quelque chose.



Pf suis énervée ce soir,vais aller dormir.
Je reprendrait cette merde demain ou pas.



tchao les gens!



lundi

Une amie...



J'ai une amie...

Elle s'appelle
Bella...

Je l'ai appelée
Bella...

J'avais
une amie...

Voici son histoire...

Elle me suivait partout , je l'emmenait partout.
Un jour
elle c'est agrippée a moi, pour me plus jamais me quitter
Elle m'aimait même
Je crois que c'était réciproque...oui
Oui , moi aussi j'ai fini par
l'aimée, ma Bella...
Oh ! Bella...
Jusqu'au jour où...

Elle été laide, mais je la trouvait belle moi
Belle...
Belle comme la nuit,
belle comme la peur,
belle comme la mort,
belle comme un Crime,
belle comme la Folie,
belle comme une morsure ,
belle comme un souvenir....

Elle est belle comme la nuit .Comme la nuit
elle aime sortir aux heurs tardives, quand tout autour d'elle dort , quand l'on entend pas même un murmure dehors....
Pense que tu dore, quand ton esprit est pour un temps à l'abrite de toute cette connerie perpétuelle et perpétuer qui reprendra dès ton réveil...dès que la machine sera en marche... Pense...et bien ce moment précis elle est là elle te regarde! Elle te goute !
E
lle, elle aime l'obscurité la solitude comme moi, elle aime la nuit noir ...
Toi retourne ou je t'ai laisser, pense, re-pense que tu dore, rien d'autre, pense que tu es dans une torpeur infini, dans une toute autre dimension,la-bas loin, loin de la Folie, là où tu es seul à l'abrite des Autres, là ou même les médias n'y séjourne pas...
Pense , pense ...Tu y es ?
Tu es sure? Tu y es?
Et bien reste-y !
Sinon tu risque de faire une grosse bêtise !
Tu risque de
l'écrasée !
De
la tuée ! Je ne veux pas que tu la tue !
Je ne veux pas qu'
elle meure ! Je ne veux pas que tu me la prenne, je ne veux pas qu'elle parte!
Je ne veux pas... je ne voulais pas...Je ne voulais pas qu'
elle meure ma Bella ...
Ma bella...

Bella

Elle était belle comme Un Crime ! Un Crime , quel Crime ! Y ai-je déjà songer? Certainement pas si non il n'aurai déjà été exécuté depuis longtemps.
Le plus étrange est que c'est vrai ! Pas une seconde j'y ai songer jamais ! Jamais ! Et pourtant et pourtant !
Vous, je suis certaine que vous ne pouvez pas en dire autant...Vous vous l'auriez déjà tuée depuis longtemps! Vous avec votre pouvoir, monsieur ! Votre pouvoir que vous porter a votre grandeur ! Mais quel grandeur..limasses ! Laissais moi rire c'est immonde...Lamentable !
Le pouvoir et les massacres pour ça vous êtes imbattable !
Sous quel prétexte ôté la vie ?
Foutez vous le au cul votre pouvoir!
Sur lequel je me plais à crachée !

Oh Bella !

Elle était belle comme la Folie ...Quel Folie ! Nous sommes rester des heurs et des heurs ensemble...
A ne rien faire, juste..être juste respiré paisiblement, il n'y avais pas besoin de mots,et puis a quoi bon des mots je savait pertinemment que tu n'y répondrai pas.
Pourquoi briser un si beau silence en parlant dans le vide pour ne rien dire? Ne sachant, si tu en saisissais pas même un sens...
Le silence été tellement mieux... il se plaisait a chanté dans ma tête comme une belle ritournelle.
J'appréciais tant ses moments de pur
sérénité, d'apaisement ..
Je les aimaient aussi car,ils ne ressemblaient pas a ceux de la solitude, tellement dépriment d'ordinaire, non avec toi c'était tout autre chose...
Tout allait pour le mieux, puisque tu était là ...


Et pourtant tu n'es plus ...non
Tu es morte, oui morte , non pas par votre faute, encore que je suis sure que vous avez tués bon nombre de ses sœurs...Mais cette fois ce n'était pas votre faute...non

Bella

Elle était belle comme une morsure...C'est la seul chose que
tu m'ai laisser, enfin elle a fini pour partir elle aussi ...
Avec le temps tout s'éteint ,disparait , trépasse...

Elle était belle comme la mort....Jusqu'à finir par être la mort en personne... A croire que c'était prévu, un autre de ses charmes irrésistible.

Pourquoi faut il que la mort soit aussi séduisante?

Une vraie déesse...

Je ment...Ça ne c'est pas passer comme ça pour
toi ma Bella ... Ça aurait été tellement mieux, tellement plus simple, tellement moins triste...
Ce n'ai pas la mort qui
ta séduite, non c'est moi qui te l'ai donner...

Tu étais belle comme la peur,
comme la peur tu frappe n'importe quand ! Mais pourquoi?
Je ne voulais pas, je ne voulais pas
te faire de mal Bella , tu étais mon amie... pourquoi as tu eu peur? Pourquoi as tu sortie tes crocs?

Tu étais mon amie...

Aujourd'hui
tu es morte.

C'est fini tu n'es plus qu'un souvenir ...
Tu étais belle comme un souvenir...



Un jour j'ai eu une araignée pour amie, mais elle ma mordue alors je l'ai tué.