Si j'étais un plat,je serais du piment dure a digéré pour qui s'y colle
Si j'étais un animal, je serais une araignée
Si j'étais une chanson,je serais "usé" de Saez
Si j'étais une couleur, je serais rouge sang
Si j'étais un roman, je seraisun violant triller de King
Si j'étais une légende,je serais perdu
Si j'étais un personnage de fiction, je serais Don Quichotte
Si j'étais un film, je serais Nell
Si j'étais un dessin animé, je serais happy tree friends
Si j'étais une arme, qui remue dans la plaie, Je serai le couteau.
Si j'étais un endroit,je serais le grenier quitte à vivre en hauteur c'est mieux que de se pendre
Si j'étais une devise,plutôt souffrir que mourir, c'est la devise des Hommes
Si j’étais un oiseau,je serais le corbeau, celui de Poem'a fasciné.
Si j'étais un air, je serais glacial
Si j'étais un élément, je serais l'eau
Si j'étais un végétal, je serais un arbre , la mère nourricière.
Si j'étais un fruit, je serais vouée à être engloutie
Si j'étais un bruit, je serais un murmure
Si j'étais un climat, je serais une pluies d'hiver, drôlement revigorant
Si j'étais un loisir, je serais un roman d'épouvante
Si j'étais une planète, je serais pluton
Si j'étais un vêtement, je seraisune paire de vans trouée Si j'étais un adverbe de temps, je serais bien malheureuse
Si je me trouvais devant dieu, je le fuirait le plus possible, je serais méchante. Mais pour cela encore faudrait croire en son existence, ce qui, pour le moment, m'est impossible. Brel si tu m'entend, moi si je serais le bon dieu je serais pas fier, je sais on fait se qu'on peut mais il y a la manière !
Que serais tu simplement si tu pouvait choisir? Être libre de mes choix...pouvoir vivre comme je l'entend. Pouvoir vivre tout simplement et avoir le pouvoir de donner la même chose a qui veut l'entendre, toute la terre m'irais très bien. Je ne sais pas s'il existe un nom pour cela. Tout bien réfléchi c'est sure que non !
J'ai un problème... Maintenant la seul chose a faire et de mesuré la grandeur de ce problème...
"Si un problème a un solution alors rien ne sert de t’inquiéter et si le problème n’a pas de solution alors t’inquiéter ne sert à rien"
Je ne sais pas...
Oui il est gros sertes, pas irrémédiable mais emmerdant ...
Puis-je le divulgué ?
Bien sur le récit en lui-même n'est rien sans le lecteur. La seule réalité d'un texte, c'est de l'encre déposée sur des feuilles de papier. Le récit ne prend corps que dans son interaction avec le lecteur et donc sa "culture". Son inné et son acquis, soit donc globalement un acquis, reste à savoir si le lecteur a un acquis! Mais que dis-je c'est obligé ça !!.
Que faire ?
Marion masturbe toi les méninges un peu, aller, aller ...
Bon,je vais essayer de mettre des mots sur ce qui me tourmente : Si l'on trouve du plaisir au bonheur d'autrui, c'est avant tout parce que l'autre est nécessaire à son propre bonheur.N'es pas? J'ai raison ce n'ai pas mon esprit qui me malmène ! Hein que j'ai raison ! Ou suis-je simplement égoïste ?
Ah ! L'alcool nous fait ressembler à ce que l'on devient... Égoïste,anti-social, psychotique...Fou ! Folle !!
Qu'attends-tu pour revenir à la raison , folle ?! Folle tu es FOLLE! Oui.. oui... folle... plus qu'un murmure...
Ma voix se perd dans les méandres de cette folie !
Penses-tu encore ou n'y a-t-il que du vent?
Qui est fou? Moi gentille petite lycéenne, futé, mais futur mouton bien dresséeoucette société moderne qui remonte la couverture quand on a froids, dans notre jolie petit chambre, climatisé, aseptisé ,internetisé ! Produit de consommation bien utilisé parnous gentils moutons! Je vous le demande ! Qui est fou ? Cette si parfaite société...ou Moi, pauvre petite idiote écervelée ?
Facile me direz vous ! FACILE ! Oh oui, cette putain de gamine, certainement pas cette gentille petite société ! Comment la choisir?! Cette société que vous adulés ! Qui vous exploite pour les bien heureux, ou qui vous envoi directement à l'abattoir, pour les moins chanceux d'entre vous. Eux habite dans des bidonvilles. Il n'ont pas le luxe de se payer une boite bien entretenu!
Bon choix vous avez gagner le droit a un Twix ! Ouvrez la bouche ! Un peut plus grand la bouche ! Une bouché pas plus ! Il ne faut pas trop en demandé non plus !
Oublie... Oublie... Oublier c'est ce que l'on fait de mieux, tu vas voir c'est facile ! Il te suffit de foutre le cul dans ton canapé et de te planter devant ton écran de télévision ... Rien de plus simple... Ta pas de télé ? Fais moi rire t'as pas de télé et un PC ! Pas grave ça marche aussi avec l'écran de l'ordinateur rassure toi !
"Soit belle, petite, tais-toi et survis. La fin est proche, ne dit rien, pas encore.Se soigner, cacher les cicatrices. Cacher le mal que l’on porte en soit. Rester digne pour sauver les apparences.La beauté qui nous protège en faisant oublier le reste"
Oublie ça...Oublie tout !
Il vaut mieux avoir une bonne utopie dans la tête qu'une mauvaise réalité en face de soi.
Extraits de "Delphine et Hyppolyte", Les fleurs du Mal, Baudelaire
Avons-nous donc commis une action étrange ?
Explique, si tu peux, mon trouble et mon effroi
Je frissonne de peur quand tu me dis: "Mon ange !"
Et cependant je sens ma bouche aller vers toi.
Ne me regarde pas ainsi, toi, ma pensée !
Toi que j'aime à jamais, ma sœur d'élection,
Quand même tu serais une embûche dressée
Et le commencement de ma perdition !
Quand même tu serais une embûche dressée
Et le commencement de ma perdition !
Qui donc devant l’amour ose parler d’enfer ?
Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier, dans sa stupidité,
S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !
Celui qui veut unir dans un accord mystique
L'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour,
Ne chauffera jamais son corps paralytique
À ce rouge soleil que l'on nomme l'amour !
On ne peut ici-bas contenter qu'un seul maître !
Mais l'enfant, épanchant une immense douleur,
Cria soudain : "Je sens s'élargir dans mon être
Un abîme béant ; cet abîme est mon cœur!"
Brûlant comme un volcan, profond comme le vide !
Rien ne rassasiera ce monstre gémissant
Et ne rafraîchira la soif de l'Euménide
Qui, la torche à la main, le brûle jusqu'au sang
Que nos rideaux fermés nous séparent du monde,
Et que la lassitude amène le repos !
Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde
Et trouver sur ton sein la fraîcheur des tombeaux !"
Descendez, descendez, lamentables victimes,
Descendez le chemin de l'enfer éternel !
Plongez au plus profond du gouffre, où tous les crimes
Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel
Jamais un rayon frais n'éclaira vos cavernes ;
Par les fentes des murs des miasmes fiévreux
Filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes
Et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux,
Fait moi vos destins âmes désordonnées !
"Hippolyte, cher cœur, que dis-tu de ces choses ?
Comprends-tu maintenant qu'il ne faut pas offrir
L'holocauste sacré de tes premières roses
Aux souffles violents qui pourraient les flétrir ?
Hippolyte, Ô ma sœur! Tourne donc ton visage,
Toi, mon âme et mon cœur mon tout et ma moitié,
Tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles !
Pour un de ces regards charmants, baume divin,
Des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles,
Et je m'endormirai dans un rêve sans fin !
Un Cartésien se pencha et lui dit : Vous n'êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou.
Un Spiritualiste le vit et dit : Vous avez dû commettre quelque péché. Un Scientifique calcula la profondeur du trou. Un Journaliste l'interviewa sur ses douleurs. Un Yogi lui dit : Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur. Un Médecin lui lança deux comprimés d'aspirine. (et il les prit dans la tronche)
Une Infirmière s'assit sur le bord et pleura avec lui. Un Thérapeute l'incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber. Une Pratiquante de la pensée positive l'exhorta : Quand on veut, on peut !
Un Optimiste lui dit : Vous auriez pu vous casser une jambe.
Ils naissent un matin et comble de bonheur Poussent un premier cri qu'ils pousseront toujours Qu'ils sont beaux d'innocence et qu'ils sont beaux d'espoir Qu'ils sont beaux de jeunesse, qu'ils sont tristes d'y croire
Puis comprennent un peu mieux, mieux de jour en jour Que la vie c'est de vivre, sans jamais voir le jour Que la vie c'est de vivre, vivre de jour en jour Que vivre c'est frémir, et frémir à toujours
Ils parlent d'être libres, de fortunes, de pays de femmes à conquérir, ils parlent de partir Puis ils parlent d'amour comme on parle d'un rêve Qu'on fait de jour en jour, jour après jour
Et puis voilà l'amour, et c'est alors qu'on s'aime Et qu'on va s'inventer qu'on est roi qu'on est reine On se prend à rêver qu'à deux on est invincible Quand il n'est plus qu'attendre, à se partager
Alors ils marchent ensemble, en pauvres condamnés Alors ils rêvent ensemble, de rêves fatigués Alors ils marchent ensemble, car il faut bien vieillir Puis ils vieillissent ensemble car il faut bien mourir
Ils meurent au matin, non ce n'est pas le soir Ils meurent un matin bouffés par leur mémoire Poussent un dernier cri, avant l'éternité Car ici respirer rime avec agonie
Quand soudain le néant fait place à l'Infini Quand enfin le silence nous ramène à la vie Quand enfin délivrés de la pénitence Jaillit de l'Imparfait la nouvelle naissance
