mercredi

Songe d'un soir

Il fus un temps ou nous étions libre, tout du moins heureux du petit bout d'herbe qui nous chatouillait les pieds. Ce petit bout de terre ou tu pouvais pissé et chier sans retenu sans que personne ne t'en empêche ou te colle un PV.

Il fus un temps ou ce battre pour cette liberté, aussi infime sois t'elle, était une seul raison de vivre, que tout les joyaux du monde ne pouvaient acheter.

Il fus un temps ou les misérables était les bien heureux, puisse qu'ils ne leur suffisaient rien d'autre qu'il ne possédait déjà pour le rester.

Aujourd'hui il nous en faut toujours plus à défaut d'être satisfait.
On se noie dans la boue, on se complais dans son malheur, indifférent de toute la souffrance du monde.
Cela dit il nous en a fallut du temps pour atteindre ce degré d'indifférence, nous en avons essuyer de guerres, des hommes massacrés, des femmes égorgées, des enfants immolés. Cela sans réel fin.


Aujourd'hui, nous marchons à genoux, serré les uns contre les autre, la lange pendante, chaînes aux poignées que l'on a gentiment pris soin de nettoyer dans les moindres recoins avant de les serrées comme il se doit.
Et nous devrions nous estimer heureux. Ils prennent soin de nous essuyer la merde qui tombe derrière nous.

Nous pauvre petit bourgeois qui portons le malheur du monde sur nos épaules à chaque quai de gars, sous chaque réverbères, sur chaque portraits.
Des faces pointées vers le haut en quête de bonheur perdu ou oublier.

En quête de caresses, de quelqu'un à aimer.

Comme s'il y avais quelqu'un la haut qui regard, de la pitié plein les yeux. Pourquoi pas ? Croire c'est tout ce qui leur restent.

L'amour quel jolie mot, tantôt adopter tantôt rejeter au final oublier.

Peut- on réellement aimer les autres?

N'es pas notre propre regard qui nous plais dans celui de l'autre?

Quand bien même cela ce produirais, qu'un sentiments naquis dans ce triste néant, peu on aimer tout une vie durant?

Absurde !
Le temps passe et emporte les sourires, la chaleurs, les souvenirs au final il ne reste qu'un puits sans fond. Du vent, qui vous fouet la tête, qui vous rend barge.
Et oui au final il ne reste que toi seul ! Te roulant dans ta merde embarrasser de parasites, te contemplant dans un miroir vide.
On peut perduré dans le mensonge toute une vie durant, mais cette dernière fini toujours par nous rattraper.
Fuis autant que tu veux, il y aura toujours quelque chose ou quelqu'un pour te rappelle que tu es un pauvre con seul dans ta crasse.

A quand ce moment face au miroir de la mort impassible?

Je l'attend avec impatience



Pas vous?

Aucun commentaire: