lundi

La Lettre








Cher.e ami.e,
Mes très sincère salutation à toi qui trouvera cette lettre, Je m’appelle Marion, je le sais, tu ne connais personne qui ce nomme ainsi, ceci n’est rien, je ne te connais pas encore non plus, mais cela arrivera bien assez tôt, tout dépend de toi. Je me risque à t’écrire en ayant pleinement conscience que peut-être jamais tu ne trouveras cette lettre. Mais si toute fois tu venais à la trouver sache que ce n’est pas un hasard c’est bien toi que je cherchais, le hasard et les coïncidences ne sont pas de notre monde, tout est écrit par avance. Aussi je te demande de prendre une grande attention en lissant ses quelques mots que tu tien entre tes doigts. Cela n’a pas été une chose aisé de me décidé à les écrire. En effet je suis fière et demander quelques aide que ce sois, surtout à un inconnu, m’est difficile, je te pris de ne pas prendre cela pour toi particulièrement. Je vis dans la forêt, dans un village qui se nomme Adélaïde en souvenir de la créatrice de notre contrée, notre tout première reine. Pour être plus précise, nous nous trouvons dans la montagne de Suribi, dans un lieu ou la terre est fertile, ou les fleurs les plus mirifiques, mais aussi les plus sauvages résident. Aucun être humain n’a jamais franchie le seuil de cette porte vivante que l’on appelle Mère Nature. Ici notre Mère a pris procession des lieux. Venons en au faite me dirais tu, car j’arrive sans mal à entrevoir tes lèvres tremblées d’impatience. Bien je vais te conter mon histoire, mon peuple autrefois libre, aujourd’hui ce meurt et j’ai besoin de toi pour que cela s’arrête. Je vais t’expliquer quelles en sont les raisons et pourquoi tu te dois de m’aider.
Il y a très longtemps, à l’aube des temps nous vivions ensemble en plénitude, régnais entre nous une entente infini. Cependant, comme tu le sais toute les bonnes choses on une fin. Cette dernière est arrivée au site d’une prophétie qui annonçait la fin des nôtres au cours d’une guerre qui devais durais pas moins de deux siècles. Une Guerre entre Le Peuple des Hommes et Le Peuple de Féerie. Nos deux contrées outre par ces dires ne voulurent y croire. Et c’est sans doute le Père Pertignac qui bouscula les choses, il proposa un traité de paix qui devrais être signés par le Roi du Peuple des Hommes. Ce dernier ne voulu consentir à le signer proférant des menaces à quiconque l’obligerais à signer quoi que ce fus à moins d’être accompagner par le souverain du Peuple de Féerie et que de toute manière les prophéties n’était écrites que par des fous. Le Roi des Hommes ce révéla être un être abject, cruel et odieux, ronger par la peur. Il faut peut de chose pour détruire la plus belle des ententes et encore moins pour créer une guerre. La différence et la peur furent les seuls arguments pour donner lieu à cette barbarie.
Nous le Peuple de Féerie craignions plus que jamais que cette prophétie ne s’accomplisse, pas parce que nous étions moins fort, non, parce que nous avions beaucoup d’âme parmi les humains que la guerre aurais détruis, et puis nous avions sans aucun doute l’esprit pour les vaincre mais nous étions bien loin d’avoir le physique pour la plus part d’entre nous pas plus grand qu’un buste humain. Nous avons donc mis tout les moyens en œuvre pour que cela ne ce produise jamais, quitte à nous diviser par milliers et de bannir à tout jamais les êtres humains. A la force des choses nous avions trouvez un moyen pour que chacun puisse vivre en total harmonie, afin que vous ne puissiez un jour prendre le dessus et décider d’éradiquer tout notre espère ou bien pire. Ce qu’il fallait faire était simple: devenir invisible à vos yeux, créer un monde impossible d’accès pour Le Peule des Hommes. Et c’est ce que nous avons fais, vous ne pouvez nous voir mais nous somme présent partout, dans chaque fleur, sous chaque arbres, sur chaque nuages. Mais la magie demande beaucoup de temps et de savoir en particulier pour créée une telle œuvre, c’est pour cela que nous nous somme séparés en plusieurs contrées, dans chacune d’entre elles un sorcier capable de nous dissimuler aux humains. Cela n’a cessé de perduré depuis des millénaires. Nous vivons dans votre imaginaire, vous faisant rêver à des mondes lointains, jouant avec les plus petits d’entre vous trop pure pour être malveillant, amis des poètes trop fou pour être écoutés. Si c’était le prix à payer pour la paix alors le compromis nous comblait parfaitement. Jusqu’à lors, nous avions réussi à vivre avec votre espèce chacun ne se soucient de l’autre. Or pour que la magie opère et pour que nous ne disparaissions pas totalement il nous faut la nature, mais par-dessus tout il faut que nous vivions dans l’esprit des Hommes. Cependant à force de ce faire invisible nous le somme devenus totalement, la chose que nous craignons le plus est en train d’arriver : Féerie n’est plus. Les Hommes ne croient plus. Nous vivons à l’aube d’une ère ou les êtres « merveilleux » n’ont plus leur place parmi les Hommes. Ces derniers détruisent le peu de nature qui nous reste, plus d’une centaines de contrées sont déjà détruites. Nous pensions avoir écroulés cette maudite prophétie. Que nenni ! Voila qu’elle ne fait que ce confirmé, sous chaque pied qui écrase une fleur, à chaque coup de hache planter dans un arbre, dans chaque marée noir, des milliers d’entre nous périssent et tout cela causer par qui ? Le Peuple des Hommes. Nous qui avions pourtant tout mis en œuvre afin de rendre la nature sacré, intouchable, qu’aucun Homme ne devais la toucher au risque d’être foudroyer sur place, que sans elle il n’était rien. Ceci sans est allé, les valeurs ce sont éteintes au rythme des brasiers des forêts. Très peu d’entre nous sont en sécurité. Et notre village n’est pas épargner.
Je refuse de voire mon peuple ce faire massacré sous mes yeux, sans que je ne puisse rien faire. Malgré ce que disent les anciens je sais que Toi seul peux nous aider s’il existe des hommes bons, alors pourquoi ne pas leur demander de l’aide. Je sais que tu en fais parti.
Et bien maintenant que tu connais les grandes lignes de mon histoire, je te pris de consentir à ma requête et de venir à notre aide. Pour cela il te suffira d’accepté deux conditions : Ne parler, jamais, à quiconque ou ce trouve ma contrée, et donc ne montrer cette lettre à personne d’humain j’entende. Ensuite, tu devras suivre les instructions que je vais te donner à la lettre au risque de te retrouver très vite inanimé, et dans ce cas tu ne nous aiderais pas beaucoup. Je suis tellement heureuse que tu acceptes, je t’assure que tu ne le regretteras pas. Bon tout d’abord il faut que tu te rendes dans la forêt la plus proche de toi, avant d’enter dans cette forêt tu dois totalement te vider l’esprit ne faire plus qu’un avec les arbres, ne penser à rien d’autre qu’à de bonne chose. Comprends-tu que tu dois absolument avoir de bonnes intentions, si non cela ne fonctionnera pas, tu ne pourras alors jamais nous aider? Attention ce n’est pas chose facile à faire alors concentre toi, cela peut prendre des heurs voir des jours, tu devras toujours revenir et recommencer sans jamais te lasser, les portes de mon monde son infranchissables sauf pour quelques personnes tache de percer leur secret, tu seras seul. Mais je suis sur que tu vas y arriver, il ne faut pas te décourager, je te l’ai dit c’est écris le hasard n’existe pas, si tu as trouvé la lettre, tu
peux entrer il te suffit de le vouloir. Souviens-toi de ceci: les enfants sont les premiers à avoir franchies cette porte.
Pour ton voyage, tu ne doit surtout pas oublier d’emporter des vivres ainsi que cette lettre et un présent, n’importe quoi pour vu que cela brille une cuillère ferra l'affaire, pourvu qu'elle brille comme ceci.
Ne met surtout pas de noir et rouge, on pourrait te prendre pour un Aviron (se sont des créatures antipathiques, si tu as le malheur d’en voir prend tes jambes à ton cou et cours !) Mais ne t’en fais pas tu ne resteras pas seul longtemps. Une fois passer la porte tu avances un bon moment droit devant toi, mais n’oublie jamais ne t’arrête pas de parler ou de chanter, ne reste pas silencieux (je te conseille une comptine comme « le petit navire » Pisora l’adore, elle va t’aider). Ensuite, arrête toi prononce ses quelques mots :

Mère Nourricière, Nature sublimé,
Nie d’indoraine et Toile d’araignée,
Toi qui nous permets de respirer,
Je t’offre pour te remercier
De me laisser passer.
(Tu pose à terre le présent que tu as choisi)

Accepte mon intrusion,
Car je viens pour Marion.
Notre Mère connais chacun de nous, elle serra que tu ne mens pas
Ensuite, Mortiduc va venir te saluer, tu devras écoutés tout sont boniment, absolument tout ce qu’il va te racontée, m’en perd pas une miette cela pourrais te couter la vie. Méfie toi il est très bavard, il a tendance à perdre le fil, c’est naturel chez lui. Il te conduira sur la voie. Tout le long de ton voyage tu rencontreras bon nombre des miens, suit-les mais n’estimes pas tout ce qu’ils te diront, crois en quelques uns, oublie les autres, je te fais confiance. Ils ne seront pas toujours agréable mais t’aiderons toujours quoi qu’ils leur en coûtent, je leur fait confiance fait en de même. Fait attention aux Lutins Sabourin, ce sont de vrais maraudeurs, tu les reconnaitras facilement. Je crois que je t’ais dis tout ce que tu devais savoir pour le moment. Mes amis se chargeront du reste.
Prend grade a toi l’Humain, la Féerie et dangereuses pour les personnes de ton espèce. Mais n’ais aucun crainte je prendrais soin de ton âme durant ton périple entre les univers. J’espère ne pas m’être méprise à ton égard, je t’attends avec impatience. Et n’oublie pas : Il existe un monde aux milles merveilles, que tout les joyaux du monde ne serais égaler, un monde ou les secrets sont par milliard, ou la magie et les possibilités sont illimité, il existe de chose que tu n’oserais même pas imaginer en rêve, il ne tient qu’à toi d’y entrer et gouter à ces merveilles. Il se nomme Féerie.
arion l’Elfe des Montagnes de Suribi de la contrée d'Adelaïde.



Aucun commentaire: